Concilier Recherche et éthique... sans extrémisme
Aucun aliment n'est bon pour tout le monde. Certains le sont pour vous, alors qu'ils ne sont pas forcément appropriés pour l'autre. Il est important de sensibilisé sans "reconvertir" ses proches de force.
Ce qui se détache dans nos recherches sont les points suivants :
• un aliment étant actif sur le plan énergétique conviendra à une personne alors qu'il sera néfaste à une autre personne à un moment donné. Donc il n'y a pas d'aliment "bon" ou "mauvais" dans l'absolu. Pour cela un bilan neurosciences s'appuyant sur la diététique chinoise et les règles acide/alcalin permet de connaître les aliments dont nous avons besoin pendant une saison...
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• la qualité de l'aliment est primordiale : il existe maintenant une technologie permettant de faire une analyse spectrale de l'aliment avant de le consommer...
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• l'état d'esprit dans lequel nous mangeons est primordial :
○
vitesse
: manger trop vite apporte une prise de poids systématique et une digestion plus lourde
manger en toute sérénité permet de se réguler et si besoin une
perte de poids
○
pleine conscience
: se concentrer sur ses aliments apporte une bien
meilleure digestion
○
plaisir
: un aliment de qualité peut devenir indigeste ou même nocif s'il est mangé sans plaisir
développer son plaisir de manger permet de
profiter des qualités nutritives de ses aliments
Si nous ne respectons pas cette priorité du "plaisir", nous allons souvent à l'échec des régimes
alimentaires basés sur la suppression de ce que l'on aime.
Il vaut mieux commencer par réduire les excès, manger moins vite et s'informer sur les bons et
mauvais mariages d'aliments auprès d'un professionnel : diététicien ("éducateur" alimentaire)
ou nutritionniste (médecin spécialisé en nutrition).
Enfin, faut-il imposer à toute la famille des aliments sans gluten ou sans lactose sous prétexte que c'est meilleur pour tout le monde ? Le résultat est souvent catastrophique pour celui qui cuisine et ceux qui mangent. Lorsqu'il ne s'agit pas d'allergie imposant un suivi médical, l'assimilation d'un aliment dépend en fait majoritairement de l'état d'esprit dans lequel on est, et s'il y a des allergies elles sont soit à prendre au sérieux (médecin) soit à décoder en matière de
message du corps
... c'est comme cela que plus de 50 % des signes d'allergies sont réglées :
en décodant le message
et en travaillant sur la perception de la personne apparemment allergique.