Notre Programme de Recherche donne naissance à une déontologie en 21 règles
Pour faire cette étude, nous avons recensé 260 techniques naturelles (sans médicament, ni consommable), en avons étudié 140 en détail, et nous sommes formés sur plus de 30 afin d'en comprendre leurs subtilités. Il ressort que certaines techniques ont des effets positifs indiscutables, tant sur la question du bien-être / mieux-être ou du confort, que sur la réduction des effets indésirables des médicaments, ou encore la réduction de la douleur en cas de parcours médical.
L'accompagnement d'une personne en parcours de soins s'avère être un vrai besoin et il est évident que
les thérapies naturelles apportent une vraie réponse
, soit dans le domaine du bien-être ou de la gestion de la douleur, soit en complément des traitements médicaux.
Nous avons constaté ces 21 règles fondamentales :
1 • Certains praticiens n'ont pas la compétence prétendue ou pas les résultats annoncés : leur sérieux ou leur éthique est
clairement en cause
2 • Certaines techniques ont une efficacité qui reste à démontrer, quel que soit le praticien
3 • Certains praticiens n'ont pas l'efficacité attendue par la technique car ils ne reproduisent que le geste et n'apportent pas l'aspect
énergétique, magnétique ou vibratoire de la technique
4 • Certaines écoles dispensent des formations (même diplômantes) sans se soucier des
aptitudes
des praticiens qu'ils forment
5 • Certaines techniques efficaces ne le sont pas pour toutes les personnes recevant le soin, ou à tous les moments de leur
vie car non adaptées au réel besoin du moment
6 • L'efficacité de certaines techniques dépend de la «
posture mentale
» du client qui reçoit la séance : règle de
physique quantique
encore très mal assimilée, liée à l'intention. La qualité du soin dépend aussi de la qualité de la relation entre le praticien et le
client : harmonie vibratoire (autre règle de physique quantique…)
7 • Certains assemblages de techniques thérapeutiques améliorent considérablement l'efficacité du soin, et ceci dans certains
8 • Il est indispensable d’intégrer ces connaissances sur la réussite des techniques au sein d'un «
Bilan Systémique
», fait
en amont des pratiques pour détecter les réels besoins du client. Sans ce bilan, la pratique au hasard des techniques et le
choix « au feeling » des praticiens offrent une probabilité de réussite de moins de 20%. Par contre, avec ce bilan, nous
constatons que ce taux monte à plus de 70% de réussite
9 • Le coût du «
Bilan Systémique
» est amorti plus de 10 fois car il est rentabilisé par moins de séances grâce au ciblage de
bonne technique. Le gain économique et le gain de temps sont également très importants.
10 • Certaines
nouvelles technologies de pointe
peuvent remplacer avantageusement certaines techniques ancestrales, offrant
un gain de temps et une plus grande efficacité
11 • Face au mal-être ou à des maladies, les
thérapies naturelles
permettent de venir régler l'origine du mal plutôt que de n'en traiter
que le symptôme
12 • Les
thérapies naturelles
ne présentent pas d'effet secondaire car elles n'utilisent pas de molécule de synthèse ou de
produit chimique
13 • Beaucoup de techniques permettent de rééduquer la personne en l'amenant à une vraie
prise de conscience
et lui permettant de
reconstruire une
posture mentale saine
afin de l’aider à sortir de son système de croyances toxiques et du cercle vicieux induit,
l’amenant à construire sa maladie : hygiène de vie, connaissance de Soi, mode de pensée, perception de son environnement...
14 • La pratique des
thérapies naturelles
est une démarche de bien-être. Lorsqu'il est face à une pathologie, le praticien doit respecter
la
déontologie
de ces propres pratiques en ne se positionnant que dans l'accompagnement de la médecine classique. Il n'est donc pas
question de parler de « médecine alternative », mais tout simplement de «
médecine intégrative
», car les deux doivent cohabiter.
La médecine naturelle doit respecter toute recommandation de la médecine Universitaire. Dans ce cadre, nous avons appris à
collaborer avec les médecins. Hors encadrement de médecins, le monde des thérapies naturelles ne doit donc se positionner que
dans une démarche de bien-être.
15 • Face à un fort mal-être ou à des maladies, les
thérapies naturelles
apportent des solutions efficaces contre la douleur et surtout pour
éviter la déshérence médicale : accompagnement de confort après l'hospitalisation...
16 • Le fait de résoudre l'
origine du mal-être
permet de réduire une part importante de récidives.
17 • La posture mentale et l'hygiène de vie sont des éléments majeurs pour une bonne santé naturelle
18 • Le mal-être, les croyances, les chocs émotionnels et l'écroulement des défenses immunitaires sont très souvent à l'origine d'anomalies
de santé. Le premier rôle utile des thérapies naturelles après le domaine du bien-être est donc de palier à ces mécanismes à l’origine
de très nombreuses pathologies.
19 • La pratique des
thérapies naturelles
n'est pas viable économiquement pour le praticien s'il ne fait pas preuve de résultat concret
et s'il ne bénéficie pas en amont d’un «
Bilan Systémique
» lui permettant de mieux identifier le fonctionnement global de la
personne (physique, énergétique, émotionnel et mental) pour cibler les bonnes actions à conduire en fonction des ses réels besoins
et définir l’ordre dans lequel les mettre en œuvre.
20 • Le
Bilan Systémique
et la majorité des techniques pratiquées permettent de développer une bien meilleure connaissance de soi.
Et c’est en se connaissant mieux que nous nous transformons de manière durable.
21 • La pratique des
thérapies naturelles
permet une nette économie de dépenses pour la sécurité sociale et pour les assurances privées.
Ces 21 constats sont devenus nos règles de base pour construire la
solution Tanagra
et guider tout parcours de bien-être par un
Bilan Systémique
préalable à toute prestation de praticien, ceci tant dans une démarche d'efficacité que de rapidité de résultat, de faible prix et de déontologie.
Dans le respect de ces conditions et grâce au
Bilan Systémique
, les thérapies naturelles ont un taux d'efficacité pouvant dépasser 80%. Elles permettent aussi de ne pas faire de promesse impossible à tenir, mais d’informer déontologiquement et en toute transparence le client de la probabilité de réussite dont il pourra bénéficier.